Pourquoi consulter ?

Une psychothérapie,
à quoi ça sert ?

Vous êtes adulte, vous ressentez des difficultés à vivre, des angoisses, des « choses mal digérées » ?

Vous vous demandez pourquoi vous n’arrivez pas à « gérer », à dépasser certains obstacles ?

Vos réactions vous paraissent parfois exagérées, elles vous dépassent et vous malmènent ?

Vous vous demandez pourquoi vous reproduisez certains comportements ou pourquoi « c’est toujours la même chose » ?

Comment vous sentir mieux avec vous-même, avec les autres ?

Comment surmonter un traumatisme ?

Démarrer une thérapie
est un cadeau qu’on se
fait à soi-même.

C’est un espace de mise en pensées, strictement confidentiel, safe et inclusif. Je vous écoute et vous accompagne pour mieux intégrer votre histoire, votre parcours de vie. C’est un espace de liberté et de confiance, où vous pouvez vous exprimer entièrement.
Au fil des séances, vous vous remettez en mouvement, parvenez à identifier vos besoins et les ressources dont vous disposez pour un mieux-être qui se traduit notamment par une plus grande confiance en soi et une meilleure estime de soi.

Psychotraumatisme

Qu’est-ce qu’un traumatisme psychique ?

Quel est son impact sur notre vie ? Pourquoi est-il parfois nécessaire d’être accompagné·e pour parvenir à le surmonter et à s’en libérer pour mieux vivre ?

Le psychotraumatisme,
une blessure émotionnelle

Hélène Dellucci, psychologue, définit le psychotraumatisme comme une « blessure émotionnelle », une sorte de retour incessant, violent, épuisant, à la case départ pour la personne traumatisée.

« Un traumatisme psychique est une blessure émotionnelle, qui reste après un événement, le plus souvent négatif. D’un point de vue neurologique, le monde de la psychotraumatologie s’accorde à dire qu’il s’agit d’un réseau neuronal qui n’est pas en lien avec des réseaux ressources, et qui, lorsqu’il est déclenché par une similitude (période anniversaire, bruit, ressemblance physique avec un agresseur, mot, musique, etc.) provoque une réaction de survie […] qui inhibent les zones préfrontales dont nous aurions besoin pour l’intégration et l’apprentissage. […]
Comme si, sur le plan cérébral, la personne se retrouvait dans la même situation (celle qui a provoqué le traumatisme) et au même moment (que le traumatisme) ». 

Hélène Dellucci, psychologue, thérapeute familiale, superviseure et formatrice, praticienne EMDR et consultante EMDR Europe.

Se faire accompagner
pour se défaire du traumatisme

Il est alors nécessaire d’être accompagné·e car pour se défaire d’un traumatisme et l’intégrer comme « un fait biographique, situé dans le temps, et contrôlable émotionnellement », la seule solution est de traverser ce qui a fait traumatisme.

Formée à la psychotraumatologie centrée compétences par Hélène Dellucci, je mets en place avec vous un plan de traitement organisé en différentes phases, orienté sur vos habiletés et compétences, dans un cadre de responsabilité partagée.

Je suis responsable d’un cadre de travail thérapeutique sécurisant et de la mise en place de bonnes conditions de travail. De votre côté, vous êtes expert·e de votre vie, de vos ressources, de vos symptômes, du contenu que vous apportez en thérapie et des changements que vous mettrez en œuvre.

Et si vous vous posez encore des questions

Vous trouverez peut-être ci-dessous des réponses à des questions que vous vous posez encore et/ou des réflexions auxquelles les précédentes pages n’ont pas répondu. N’hésitez pas à utiliser la page de contact pour me poser des questions si vous le souhaitez.

Puis-je venir en thérapie pour un tiers ?

Désolée, la réponse est non.

S’engager dans une psychothérapie est une démarche éminemment intime, personnelle effectuée en conscience parce qu’on en ressent soi-même le besoin. Suivre une thérapie dans l’objectif d’aider quelqu’un d’autre que vous connaissez et qui ne va pas bien ne sera d’aucune utilité à ladite personne. Suivre une thérapie est un choix et une volonté.

Une psychothérapie dure des années…

C’est possible oui mais vous seul décidez de la durée. Vous pouvez tout à fait démarrer une thérapie, l’arrêter pendant un temps donné et, en fonction de vos besoins, décider de la reprendre, avec ou non le même praticien, avec ou non le même cadre de référence. Cela fait toujours l’objet d’un échange entre vous et moi.

Après une psychothérapie le risque est de n’être plus soi-même…

Le travail de psychothérapie que vous entreprenez va assurément faire émerger des questionnements, vous permettre de porter un regard différent sur certaines de vos croyances, certains de vos comportements. Elle va aussi vous aider – à condition que vous y mettiez du vôtre bien sûr ! – à mieux comprendre qui vous êtes et pourquoi, dans telle ou telle situation, vous réagissez toujours de la même manière.

Au cours de votre thérapie, peut-être remettrez-vous en cause une multitude de principes acquis de longue date et considérés comme intangibles jusque-là. Peut-être irez-vous même jusqu’à remettre en cause un schéma de vie, certains de vos choix. Peut-être que, peut-être pas.

Après plus de 20 ans de thérapie, j’ai acquis la certitude qu’une psychothérapie ne change pas réellement une personne. Elle lui permet d’être plus elle-même, de s’autoriser à être ce qu’elle est vraiment, débarrassée de ce qui ne lui appartient pas. Elle lui permet d’être plus consciente de ce qu’elle souhaite vivre et de ce qu’elle ne souhaite plus vivre et c’est un cadeau que l’on se fait à soi-même dont la valeur n’est pas estimable.